They shoot horses, don’t they?
Vestiaires du Parc des Princes, Paris, 1999.
They shoot horses, don’t they?
Le temps d’un reportage, j’ai accompagné une troupe de danseuses qui rêvaient d’égaler les meilleures cheerleaders américaines. Des plateaux télé aux hippodromes en passant par les stades les plus prestigieux, elles enflammaient le public sans jamais manquer leur coup. Côté coulisses, autre histoire. Vestiaires pas chauffés, sandwiches seulement s’il en restait après les journalistes ; rien à boire de chaud même quand la pelouse du stade craquait sous le gel, payées quatre sous pour danser à volonté. On abat bien les chevaux…